En France, sur la base de retours d’expérience sur Abbeville, Bordeaux, Paris, Philadelphie,…de plus en plus de villes et d’agglomérations sont tentées par la suppression des feux tricolores, outils jugés objectivement (ou subjectivement) :
- contraignants et, parfois, “non responsabilisants” pour les usagers,
- coûteux pour les exploitants.
Sans évidemment vouloir remettre en cause ce qui a été réalisé, Transitec tient, par la présente tribune, à rappeler les forces… mais aussi les faiblesses d’un tel outil dans le cadre d’une politique de mobilité urbaine.