Comme vient tout juste de s’en rendre compte Elon Musk, le fantasque patron de Tesla, l’empreinte énergétique des activités numériques a de quoi faire peur. Que ce soit pour « miner » du Bitcoin ou conserver des milliards de clichés de chatons-trop-mignons, il faut des matériaux et beaucoup d’électricité ! La dématérialisation des réseaux n’est ainsi qu’un fantasme, rappelle Marc Bidan qui, dans notre chronique « l’environnement autrement », revient sur les leçons de sobriété que nous pourrions tirer de l’incendie qui a récemment touché un des data centers de l’entreprise française OVH.
Source : Retour sur l’incendie des serveurs d’OVH : la sobriété numérique est-elle possible ?
Voir notamment : L’enjeu ici n’est pas tant de repenser ces infrastructures que la production des données. Ce qui nous amène à de nouvelles questions : quand penserons-nous la mortalité des données (leur durée de vie) ? Quand envisagerons-nous de ne pas produire de données, qui demeurent dans la plupart des cas bien inutiles, insipides et inexploités.