Retour sur l’incendie des serveurs d’OVH : la sobriété numérique est-elle possible ?

Comme vient tout juste de s’en rendre compte Elon Musk, le fantasque patron de Tesla, l’empreinte énergétique des activités numériques a de quoi faire peur. Que ce soit pour « miner » du Bitcoin ou conserver des milliards de clichés de chatons-trop-mignons, il faut des matériaux et beaucoup d’électricité ! La dématérialisation des réseaux n’est ainsi qu’un fantasme, rappelle Marc Bidan qui, dans notre chronique « l’environnement autrement », revient sur les leçons de sobriété que nous pourrions tirer de l’incendie qui a récemment touché un des data centers de l’entreprise française OVH.

Source : Retour sur l’incendie des serveurs d’OVH : la sobriété numérique est-elle possible ?

Voir notamment : L’enjeu ici n’est pas tant de repenser ces infrastructures que la production des données. Ce qui nous amène à de nouvelles questions : quand penserons-nous la mortalité des données (leur durée de vie) ? Quand envisagerons-nous de ne pas produire de données, qui demeurent dans la plupart des cas bien inutiles, insipides et inexploités.

Cartoviz – Les déplacements domicile-travail et domicile-etude 2016

À l’échelle communale et pour l’ensemble du territoire national, cette carte interactive renseigne sur les lieux d’étude des étudiants à partir d’une commune sélectionnée. À l’inverse, il est possible de sélectionner une commune pour identifier les communes de résidence de ses étudiants. L’ensemble des données sont téléchargeables et portent sur l’année 2016.

Carte similaire pour les DT.

Source : Cartoviz – Les déplacements des étudiants 2016

Source : Cartoviz – Les déplacements domicile-travail 2016

Flâner sur internet au bureau peut améliorer votre productivité

Un petit tour sur Facebook, deux ou trois achats en ligne et quelques mails personnels envoyés: si vous êtes un être humain et que vous travaillez derrière un bureau, vous passez forcément un peu de temps dans la journée à traînasser sur internet au lieu de bosser. Cette pratique, appelée cyberloafing, ne veut pas pour autant dire que vous êtes faignant·e.

Un petit moment d’égarement pourrait en réalité améliorer votre productivité à long terme, avance une étude menée par une équipe de recherche américaine et financée par le Sunshine Education and Research Center de l’université de Floride du Sud.

Les scientifiques ont interrogé plus de 258 universitaires travaillant au moins vingt heures par semaine, à la fois sur le temps passé à pratiquer le cyberloafing et sur leur satisfaction au travail, leur désir d’arrêter de fumer ou les mauvais traitements éventuellement subis dans l’entreprise.

Effet tampon

Les résultats de l’étude, qui ont été synthétisés par l’une des autrices dans un article de Fast Compagny, montrent que parmi les sujets qui signalaient une mauvaise ambiance dans leur entreprise, ceux pratiquant le cyberloafing (65% d’entre eux) étaient davantage satisfait·es professionnellement. Ces personnes sont moins susceptibles de vouloir quitter leur emploi que celles qui ne flânent pas en ligne.

La chercheuse Stéphanie Andel conclut que le cyberloafing permettrait aux employé·es de gérer l’angoisse au travail, en agissant comme une mini-pause au cours de la journée pour se remettre de moments stressants. Traîner sur internet opérerait en somme comme un effet tampon.

Fast Company relève que d’autres études appuient cette découverte. Il a été prouvé que la prise de courtes pauses tout au long de la journée de travail renforcent la productivité, et que les personnes actives surfent sur le web pour compenser l’ennui ou face à des instructions peu claires.

Malgré tout, le cyberloafing n’a pas que des effets positifs. Trop de temps consacré à des activités non professionnelles au bureau entraînent d’importantes baisses de performance. Selon le Wall Street Journal, ces pratiques coûteraient chaque année près de 85 milliards de dollars aux entreprises américaines.

Source : Flâner sur internet au bureau peut améliorer votre productivité | Slate.fr

Repéré sur Fast Compagny

Des itinéraires à la carte 100% accessibles

Pour les personnes à mobilité réduite (PMR), faire du tourisme peut vite devenir un casse-tête si l’environnement n’est pas adapté. Un problème auquel les Grenoblois Sébastien Guillon, Florian Blanchet et Marco Petitto, lui-même tétraplégique, se sont attaqués en créant un site internet, Andyamo.fr, répertoriant des itinéraires 100% accessibles.
Tout commence en 2017, lorsque le trio part pour un séjour impromptu à Lyon : « Je pensais naïvement que malgré le handicap de Marco, ce ne serait pas si compliqué, se souvient Sébastien Guillon. Mais j’ai vite déchanté ! On est arrivés en gare et on a vite fait demitour. Quand on est handicapé, tout doit se vérifier longtemps à l’avance : l’accessibilité du train, le cheminement pour relier les lieux touristiques aux restaurants ou à l’hôtel, etc. »
Rapidement, ils voient là l’opportunité de créer un service pour aider les
PMR à gagner en autonomie durant leurs voyages. « Car il y a aujourd’hui
un besoin qui n’est pas du tout satisfait ! » Ils décident donc de voyager en
réalisant l’inventaire des itinéraires et des lieux accessibles les plus emblématiques visités : Bordeaux, Rome, Barcelone… 38 itinéraires 100% accessibles, dans trois pays différents (France, Espagne et Italie), font leur
apparition sur leur site, en téléchargement libre.
Depuis, la start-up souhaite sensibiliser les collectivités à son offre. Elle
vient de s’associer à l’office de tourisme métropolitain pour que celui-ci
propose sur son site, avant le coup d’envoi de la Coupe du monde féminine,
des itinéraires cette fois-ci à la carte : en fonction du type de handicap,
l’office de tourisme proposera des parcours permettant à chacun
de profiter, en toute autonomie, des restaurants, des hôtels et des lieux
les plus emblématiques du territoire. Quoi de plus naturel pour notre métropole, l’une des plus accessibles de France ?*
*Lauréate du prix européen Access City Award 2014

Plus d’infos sur andyamo.fr

Source : Journal de La Métro

Visualizing Geographic Statistical Data with Google Maps

This tutorial will teach you how to create a custom Google Maps based map for visualizing geographic statistical data. Such maps can be a useful tool when developing machine learning models. As a specific example case, we will create a map for visualizing the population density and median household income of postal code areas in Finland.

Source : Visualizing Geographic Statistical Data with Google Maps

Bing Maps affiche des images du trafic routier en temps réel

Bing Maps propose depuis quelques jours l’affichage du trafic en temps réel dans 11 pays à l’aide de 35 000 caméras de surveillance du trafic.

Source : Bing Maps affiche des images du trafic routier en temps réel – Actualité Abondance

Transamo a développé un outil d’enquête déplacements

La filiale de Trandev a mis au point l’appli mobile my-ways qui permet de recueillir tous les déplacements d’un usager – transports publics, marche à pied, vélo, voiture. Un outil destiné aux collectivités qui souhaitent notamment optimiser leur réseau, l’offre sur un territoire ou un arrêt précis.

Source : Transamo a développé un outil d’enquête déplacements

et directement le service my-ways.fr

Eurecab, nouveau comparateur de VTC et de taxis

Deux anciens de la SNCF à l’origine d’iDCAB lancent un comparateur de VTC et de taxis. Le client peut, en un clic, comparer les prix et les offres, et réserver un chauffeur. Eurecab prend une commission de 10-12% sur chaque course.

Source : Eurecab, nouveau comparateur de VTC et de taxis

et directement le service eurecab.com