Marcher quand on est au téléphone permet de se concentrer c’est prouvé

FAIT DE SOCIÉTÉ – Pendant une conversation téléphonique, vous ne pouvez vous empêcher de marcher. On vous explique pourquoi !

Saviez-vous que Napoléon Bonaparte dictait ses lettres en faisant les cent pas ? Aujourd’hui plus de lettre, mais un smartphone, ce qui ne nous empêche pour autant de déambuler dans l’appartement ou griffonner sur un carnet. Bref, on ne reste pas inactif !

Et ce n’est pas pour rien ! Une étude de l’université de Stanford  souligne que marcher permet d’augmenter de 60% sa créativité, puisque le corps et le cerveau sont liés. Quand le corps s’anime, le cerveau fonctionne mieux.

Marcher au téléphone stimule notre concentration et permet d’évacuer l’émotion

Le cerveau est plus efficace lorsque le corps se déplace, nous apprend le médecin et conférencier, Stéphane Gayet :

“Lorsque le corps bouge, cela stimule la respiration, et l’oxygénation est bien meilleure. La circulation générale s’active, par la production de plusieurs hormones qui augmentent la pression dans beaucoup d’organes et qui s’acheminent vers le cerveau.

Ainsi, marcher permet d’enclencher l’activité cérébrale, et engendre une plus grande performance d’écoute et une meilleure concentration. Mais ce n’est pas tout : lorsqu’on est au téléphone, la conversation est parfois dense, on parle de choses délicates qui peuvent nous rendre plus sensibles.

Le fait de marcher facilite l’absorption de la charge émotionnelle : “Quand on ressent une émotion forte, cela entraîne beaucoup de nervosité dans le corps”, ajoute le Dr Gayet. Bouger son corps est en quelque sorte un exutoire. Logique.

Cela favorise l’énergie et diminue le stress

Parler au téléphone, surtout si la conversation est longue, demande énormément d’énergie. Bouger son corps, puisque cela stimule le métabolisme, permet d’augmenter considérablement cette dernière :

“Marcher active le système musculaire, cardio, l’appareil pulmonaire, et donc cela mobilise les ressources en glucose pour le cerveau. Cela nous permet de garder la forme lorsqu’on parle à un interlocuteur qui n’est pas en face de nous”, précise Stéphane Gayet.

Au contraire, lorsqu’on nous sommes assis, les tensions se ressentent davantage, cela amplifie l’angoisse. C’est la raison pour laquelle faire les cent pas au téléphone est un moyen de relâcher le stress qui a des répercussions sur les muscles. “Le corps n’est pas fait pour rester immobile, cela favorise les douleurs et par conséquent, augmente le stress dans le corps”, ajoute M. Gayet.

Si le corps aime être en action, c’est que cela procure un effet d’apaisement. “C’est souvent pour cela que des gens ont des sortes de tics obsessionnels lorsqu’ils parlent au téléphone, comme triturer un objet par exemple. Ces habitudes sont des rituels rassurants”, conclut le Dr Gayet.

Après tout, Nietzsche l’affirmait aussi : “Les pensées valables viennent en marchant.”

Source : Marcher quand on est au téléphone permet de se concentrer c’est prouvé

Pourquoi Wever a séduit Transdev avec son approche de la mobilité

Wever réalise des diagnostics de mobilité en interrogeant directement les personnes puis propose de nouvelles solutions de transport qui sont plébiscitées par les personnes travaillant ou habitant dans un lieu donné. Sa vision de la mobilité personnalisée, dont le but est d’améliorer les services de mobilité proposés au sein d’une entreprise ou d’une collectivité, a séduit Transdev. L’opérateur de transport a investi dans la jeune pousse et établit un partenariat de co-innovation avec celle-ci.

Wever propose d’accompagner les entreprises, collectivités et zones d’activité dans le déploiement de services de mobilité qui collent au mieux aux attentes des utilisateurs. Celle qui veut être “l’outil permettant aux start-up de la mobilité de fonctionner”, selon son CEO et fondateur Thomas Côte, a séduit un géant du secteur : l’opérateur Transdev. Les deux partenaires mettent la lumière sur leur partenariat jeudi 23 mai 2019, qui a conduit Transdev à entrer au capital de la jeune pousse.

Du covoiturage au diagnostic mobilité

Initialement positionné sur le secteur du covoiturage domicile travail, Wever a opéré un virage stratégique en cherchant à comprendre pourquoi son offre de mobilité ne fonctionnait pas autant qu’espéré. En interrogeant directement ses utilisateurs, la start-up s’est rendu compte qu’il est impossible de classifier les attentes des personnes en termes de mobilité selon leurs catégories socio-professionnelles ou d’autres critères prédéfinis, mais que cette expérience est intimement personnelle.

“Malgré le foisonnement des initiatives autour de la mobilité, la durée et la pénibilité du transport continuent d’augmenter”, ajoute Thomas Côte. Les données traitées sur ce sujet sont des flux statistiques anonymes. Wever a décidé d’avoir une approche inverse en travaillant à partir de ce que les gens déclarent et non pas de ces flux. La start-up réalise des diagnostics de mobilité pour les entreprises ou les collectivités et ensuite, elle leur propose des solutions de mobilité adaptées. Au moment de ce virage stratégique, la jeune pousse a rencontré Transdev qui a rapidement été séduit par sa proposition de valeur.

Wever fait voter les gens sur les nouvelles solutions

Wever propose trois solutions via “une plate-forme en mode SaaS permettant de piloter la mobilité et les changements de comportement”, explique Thomas Côte. La première, WeDiag, est un questionnaire auquel il faut répondre via l’application ou un portail web et qui “permet à chaque individu de faire son diagnostic mobilité en moins d’une minute”, affirme le CEO. Quasiment en temps réel, ces données sont traitées et présentées de manière anonyme et ordonnée au client qui a un état des lieux de la mobilité. A ce niveau, Wever est concurrencé par les cabinets d’études. Mais là ou ces derniers mettent six mois à un an pour réaliser une étude, Wever affirme avoir de nombreux retours en quelques semaines seulement. Et la start-up accompagne ses clients au-delà du diagnostic.

Question posée aux personnes réalisant un diagnostic de mobilité.

La seconde solution, WeMoov, révèle l’existant : cette partie permet de comparer ce que les gens déclare et la réalité des services. Par exemple, certaines personnes peuvent affirmer qu’il n’y a pas de transport en commun alors qu’en réalité il y en a. Le but ici est d’analyser les données afin de voir ce qui pourrait être mis en place : covoiturage, horaires de bureau décalés sur certaines journées, utilisation ponctuelle d’un espace de coworking, mise à disposition de vélos électriques, création d’une nouvelle desserte de bus, changement de place d’un arrêt de bus… Toujours dans cette démarche d’impliquer les personnes concernées, Wever pré-valide ces changements auprès des personnes et lance un pilote de quelques jours. “Des contenus sont envoyés aux utilisateurs de Wever pour qu’ils aillent vers cette alternative de mobilité”, précise Thomas Côte. Enfin, la dernière solution, WeJoy, permet de récompenser les personnes afin de les fidéliser.

Interface proposant des solutions de mobilité.

Wever veut s’exporter aux Etats-Unis

Le fondateur de Wever salue l’ambiance de “co-innovation” directement instaurée par Transdev. Les deux partenaires ont répondu ensemble à plusieurs appels d’offres, qu’ils n’ont pas forcément remportés. Au-delà de la France, Wever ambitionne d’exporter sa plate-forme en Amérique du Nord, et notamment aux Etats-Unis, grâce à la présence de Transdev dans cette région du globe et aussi via le programme Ubimobility. A travers celui-ci, Wever espère apporter une proposition de valeur aux acteurs souhaitant lancer des flottes de véhicules autonomes. L’idée étant de les aider à comprendre où et comment déployer ces flottes en interrogeant directement les utilisateurs finaux.

Source : Pourquoi Wever a séduit Transdev avec son approche de la mobilité

MyCarSpot optimise la gestion des places de parking en entreprise

MyCarSpot propose une solution de gestion des parkings pour les entreprises. Concrètement, il est demandé aux collaborateurs disposant d’une place de parking attribuée de préciser toutes les semaines ou tous les mois les jours où ils n’en n’ont pas besoin. Ces places sont ensuite attribuées, au jour le jour, aux collaborateurs en faisant la demande, selon des critères qui peuvent être fixés par l’entreprise.

MyCarSpot propose une solution d’optimisation des parkings entre les collaborateurs. Rencontré à l’occasion du salon parisien Viva Technology, qui se tient du 16 au 18 mai 2019, Stéphane Saigneurin, co-fondateur de la jeune pousse, promet “une augmentation de taille des parkings de l’ordre de 25 à 30%”. Sur un parking de 350 places, un centaine de places peuvent être affectées tous les jours à d’autres collaborateurs grâce à MyCarSpot.

Recense et ré-attribut tous les jours les parkings disponibles

Concrètement MyCarSport recense les places de parking disponibles dans une entreprise. Puis, tous les mois ou toutes les semaines, selon les paramétrages souhaités par les entreprises, les collaborateurs disposant d’un parking reçoivent un mail ou un push afin de renseigner les jours où leur place ne sera pas occupée. Les collaborateurs le désirant peuvent demander à avoir une place de parking pour un jour donné et sont informés la veille si leur requête a été acceptée ou non.

Les parkings étant souvent fermés par des barrières, MyCarSpot peut brancher sur celle-ci un module IoT qui se connecte aux smartphones ou installer des caméras si la liste des plaques d’immatriculations est connue.

Des critères d’attributions souvent fixés par les entreprises

“Souvent les entreprises disent vouloir être ultra-équitables pour l’affectation de ces places”, ajoute Stéphane Saigneurin. Elles sont attribuées aux collaborateurs selon des critères fixés par l’entreprise et/ou MycarSpot. Ancienneté, distance entre le domicile et le lieu de travail, enfant… sont des critères régulièrement plébiscités par les entreprises. MyCarSpot peut prendre en compte les demandes faites pour des véhicules électriques ou des scooters.

“En juin MyCarSpot va proposer un nouvel algorithme plus équitable, ajoute Stéphane Saigneurin. Moins une personne aura eu de place de parking, plus il aura de chance d’en avoir lorsqu’il fera une demande”. Cet algorithme pourra être utilisé par toutes les entreprises le souhaitant. La jeune pousse souhaite aussi développer un nouvel onglet pour le covoiturage domicile travail d’ici la fin de l’année. Les personnes le souhaitant pourront y indiquer le trajet qu’elles réalisent et pourront être favorisées pour l’obtention d’une place de parking. MyCarSpot envisage éventuellement de se rapprocher d’une start-up spécialisée dans le covoiturage domicile travail pour cette nouvelle fonctionnalité.

5 000 places gérées par MyCarSpot

Le système est gratuit pour les collaborateurs, précise Stéphane Saigneurin. Ce sont les entreprises qui payent un forfait selon le nombre de places de parking et le nombre d’utilisateur est illimité”. Pour une centaine de places, MyCarSpot facture environ 200 euros par mois. Celle qui dit “gérer de la ressources”, selon Stéphane Saigneurin, va appliquer son système pour la gestion des bureaux. MyCarSpot va mener un pilote en juin avec OLnet et pourrait diversifier ses activités si l’issu de ce test est positif.

La jeune pousse compte parmi ses clients des entreprises de 5 salariés et d’autres ayant 50 places de parking pour 650 collaborateurs. “Aujourd’hui, MyCarSpot gère environ 5 000 places de parking et la majorité des clients sont en région parisienne et dans des grandes villes”, détaille Stéphane Saigneurin. MyCarSpot espère se lancer rapidement en Europe et dispose déjà d’un client, My Discovery Channel, à Londres (Angleterre) ainsi que d’un client à Genève (Suisse). La start-up envisage éventuellement de lever des fonds en série A en 2020 pour poursuivre ses ambitions internationales.

Source : [Viva Tech] MyCarSpot optimise la gestion des places de parking en entreprise

Le groupe RATP et Airbus étudient l’intégration des véhicules volants autonomes dans le transport urbain

Un partenariat visant à explorer la faisabilité de services de mobilité aérienne urbaine en Île-de France a été signé aujourd’hui mercredi 15 mai 2019 par Catherine Guillouard, Présidente-directrice générale du groupe RATP et Guillaume Faury, PDG d’Airbus

Les vols autonomes ne font plus partie de la science-fiction“, indique Guillaume Faury, PDG d’Airbus, dans un communiqué publié ce 15 mai 2019. Le groupe y travaille concrètement, précise le dirigeant. Avant d’ajouter que le choix d’un partenariat avec la RATP vise à adapter les solutions pour l’usager en milieu urbain  “Aujourd’hui, nous disposons des briques techniques mais il faut les harmoniser afin de les intégrer dans la vie quotidienne des usagers sans remettre en cause notre priorité, la sécurité. La RATP est l’un des acteurs majeurs pour les solutions de mobilité urbaine. Sa connaissance de l’usager, de ses besoins et des services associés en fait le partenaire idéal pour Airbus.

Un projet intégré à la stratégie Maas de la RATP

L’idée est de réfléchir avec Airbus sur la façon d’intégrer ses transports volants dans notre quotidien. Nous orientons notre réflexion sur des thématiques comme les nuisances sonores, les possibles lieux d’atterrissages et de décollages, les moyens de correspondance et les applications mobiles associées“, explique à L’usine Digitale Mathieu Dunant, directeur de l’innovation chez RATP.

Cette alliance s’intègre dans le projet plus large du MaaS (Mobility as a service). Celui-ci doit permettre de proposer des services de transport aux voyageurs, en les faisant bénéficier des meilleures innovations des deux groupes en matière de mobilité durable et partagée, comme le véhicule autonome et électrique. Dans ce cadre le groupe RATP a lancé le 12 février 2019 une application dans la ville d’Annemasse (Auvergne-Rhône-Alpes), prenant en charges différents services comme le covoiturage, les taxis, les places de parking ou la billetterie. Et bientôt les taxis volants ?

Source : Le groupe RATP et Airbus étudient l’intégration des véhicules volants autonomes dans le transport urbain

La livraison entre particuliers prend son envol

Votre enfant a oublié son doudou ou son jouet préféré chez ses grands-parents ? Vous avez-besoin de transporter un objet d’une ville à une autre sans avoir le temps de vous déplacer ? Vous devez rendre un DVD à une amie qui a furieusement envie de regarder une série pendant le week-end ? Nous avons tous besoin de faire circuler des objets d’un point A à un point B. Pourquoi ne pas faire appel à votre voisin, plus disponible, pour acheminer cet objet à votre place… À pied, en train, en voiture, à vélo ou en camionnette, tous les moyens de transport sont permis ! Ce nouveau réflexe permet à la fois de rendre service, d’économiser de l’argent et de protéger l’environnement, en réduisant les déplacements inutiles.

 Les avantages d’une plateforme d’échanges 

La livraison entre particuliers prend son essor grâce à l’arrivée de nouvelles plateformes collaboratives sur Internet. On est ici au cœur de l’économie de partage, qui permet de mettre en relation des particuliers pour se rendre un service mutuel, sur le principe d’un échange pair-à-pair. Les transporteurs occasionnels fixent eux-mêmes le tarif de leur prestation, en fonction de la distance à parcourir et du type d’objet à transporter. Ce service de livraison de proximité, sécurisé et économique (jusqu’à 70 % moins cher qu’en passant par un transporteur professionnel), propose de simplifier les transactions entre voisins, tout en protégeant les biens qui sont confiés. En faisant appel sur des personnes qui ont déjà prévu de se déplacer ou de voyager pour leurs loisirs ou leur travail, ce principe permet également de réduire l’empreinte carbone des transports et de préserver la planète.

Quelles sont mes garanties ? 

Une plateforme telle que « Livre à ton voisin », start-up lancée par une jeune francilienne, a souscrit une assurance pour assurer les biens à hauteur de 2 000 euros contre le vol et la casse, pour les livraisons effectuées grâce à sa plateforme. Aucun numéro de carte bancaire n’est enregistré sur le site. Une application mobile permet de suivre son colis et de réaliser un constat à la prise en charge du colis et à sa livraison, pour vérifier qu’il soit dans le même état au départ et à l’arrivée. Plus international, « Jwebi » propose aussi de livrer des colis entre particuliers à l’étranger. Les profils des « livreurs » sont vérifiés par la plateforme, qui propose un système de paiement sécurisé. Le particulier qui a effectué le transport ne reçoit son paiement qu’une fois que la bonne réception du colis a été confirmée.

Source : La livraison entre particuliers prend son envol – CASDEN MAG

Les automobilistes bientôt rémunérés pour les données acquises par leurs véhicules ?

Depuis quelques jours, Jaguar-Land-Rover effectue en Irlande les premiers tests d’un portefeuille intelligent, basé sur des cryptomonnaies (IOTA Fondation), directement intégré dans la voiture. Il permettra par exemple de payer sa recharge électrique, son parking ou ses péages sans équipement supplémentaire et sans abonnement.

Take the money and drive

Rien à voir avec la cartographie me direz-vous ? Mais si, car, qui dit portefeuille dit à la fois dépenses et… recettes. Le conducteur peut également gagner de l’argent en acceptant d’envoyer des données captées par sa voiture telles que nids-de-poule ou ralentissements aux autorités ou à un fournisseur de services de navigation. Ces transmissions de données géolocalisées permettront ainsi d’améliorer l’état des routes et les conditions de circulation. Ce « smart wallet » fait partie intégrante de la stratégie Destination Zero de Jaguar Land Rover « zero emissions, zero accident and zero congestion ».« Pour atteindre cet objectif, il faut notamment développer une économie du partage dans laquelle le véhicule joue un rôle essentiel en tant que collecteur de données dans la ville intelligente du futur »précise le communiqué officiel.

Un premier pas sur un vaste sujet

La proposition du constructeur permet d’établir une relation commerciale entre un particulier et une autorité publique ou un service de navigation… Mais jusqu’où le conducteur gardera-t-il la maîtrise des flux qu’il génère ? Pourra-t-il refuser de transmettre certaines données à certains organismes ? Jusqu’à quel niveau de détail ? Compte tenu de l’organisation de l’entretien des routes dans un pays comme la France, un tel système ne pourra s’envisager sans un intermédiaire agrégateur… Qui définira les prix des données ? Qu’est ce qui empêchera l’avenir le conducteur de réclamer de l’argent pour d’autres données que celles prévues aujourd’hui ? Véritable boîte de Pandore, la question de la valorisation des données acquises par nos capteurs individuels n’a pas fini de nous interroger.

Source : http://decryptageo.fr/les-automobilistes-bientot-remuneres-pour-les-donnees-acquises-par-leurs-vehicules/

Et : https://www.usine-digitale.fr/article/vous-pourriez-bientot-gagner-de-l-argent-en-conduisant-en-echange-de-donnees-trafic.N839415