La datavisualisation, un savant cocktail d’expertises

Il y a encore quelques années, chacun cherchait à disposer d’un maximum de données pour s’assurer la maîtrise de l’ensemble des thématiques liées à son domaine d’intervention. Avec l’avènement du big data et l’essor des réseaux sociaux, nous sommes désormais confrontés à un volume et à une diversité de données sans précédent, nécessitant de nouvelles capacités d’expertise, de traitement, d’analyse et d’exploitation. Plutôt que d’accumuler des données tous azimuts, notre attention se tourne dorénavant vers une sélection de données pertinentes et sur leur présentation intelligible. En effet, partager des résultats ne constitue qu’une partie du processus, alors qu’il est tout aussi crucial de les rendre accessibles et compréhensibles pour tous. Pour cela, il est impératif de passer d’une surabondance de données à une information claire, sans la tronquer. C’est à ce niveau qu’intervient la datavisualisation : en utilisant des codes visuels et graphiques, elle permet d’atteindre cet objectif en facilitant la transmission et la compréhension de résultats, même pour les non-experts.

Source : La datavisualisation, un savant cocktail d’expertises – Institut Paris Région

Replica (Google) collecte des données de localisation mobile pour modéliser les déplacements urbains

Replica est la dernière-née du Sidewalk Labs, la division smart city de Google. L’entité formée il y a deux ans a annoncé jeudi 12 septembre 2019 avoir réalisé une première levée de fonds et devenir désormais une société à part entière. Son créneau ? Aider les entités publiques à mieux comprendre les déplacements des personnes et des biens.

Source : Replica (Google) collecte des données de localisation mobile pour modéliser les déplacements urbains

CartNat : Premier diagnostic national des aires à fort degré de naturalité – UICN France

La cartographie du gradient de naturalité potentielle de France métropolitaine a pour la première fois été établie par les chercheurs Adrien Guetté, Jonathan Carruthers-Jones et Steve Carver, avec le soutien du Comité français de l’UICN et en particulier de son Groupe d’experts Wilderness et Nature férale, du WWF et de WildEurope Initiative.

Elle permet de faire un état des lieux des zones a priori les moins exposées aux impacts des activités humaines et dont les caractéristiques naturelles ont été préservées.

Source : CartNat : Premier diagnostic national des aires à fort degré de naturalité – UICN France

le.taxi, le registre de disponibilité des taxis

À la demande des organisations professionnelles de taxi et en application de la Loi d’orientation des mobilités, l’ensemble des taxis de France ont l’obligation de transmettre leurs données de localisation et de disponibilité en temps réel à l’API Le.taxi depuis le 19 décembre 2021.

Grâce à Le.taxi les utilisateurs d’applications de mobilité agrées peuvent “héler” numériquement un taxi proche.
60 000 taxis bientôt disponibles et inter-opérables c’est un bond en avant pour optimiser l’usage de ce mode partagé et pour le développement de l’inter-modalité.

Le.taxi est donc en phase d’accélération avec près de 200 flottes de taxis en cours de connexion sur l’ensemble du territoire.

Vous souhaitez héler un taxi disponible immédiatement en maraude électronique ? Téléchargez une application partenaire agréée Le.taxi.

Source : le.taxi, le registre de disponibilité des taxis

Présentations salon GéoDataDays 2021

Plénières et Grands Débats 

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De la réalité virtuelle aux jumeaux numériques : des modes de représentation et de gestion qui bousculent les codes

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Géomatique et sécurité informatique : quelques conseils

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Ateliers sponsors

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Démonstrations sponsors

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Source : Présentations – GéoDataDays 2021

Open data : de nouvelles API pour les sites économiques de la DILA

La direction de l’information légale et administrative (DILA) a ouvert les données de ses sites économiques via de nouvelles interfaces de programmation d’application (API). Cette ouverture concerne les annonces civiles et commerciales du BODACC (33 millions d’annonces publiées), les annonces de marchés publics du BOAMP (3,2 millions d’annonces), les annonces des associations et fondations d’entreprise et leurs dépôts des comptes annuels (4,9 millions d’annonces) et les annonces légales et obligatoires du BALO (128 000 annonces).

Source : Open data : de nouvelles API pour les sites économiques de la DILA

Carto GRAOU

Cette carte est un projet « béta » lié à une application métier dédiée aux agents de conduite et commerciaux des trains SNCF.
Elle est livrée sans garanties de fiabilité ou de mise à jour.

Les données présentées, en plus du fond de carte ©OpenStreetMap et ©OpenMapTiles, viennent de ©SNCF Réseau et toutes disponibles en opendata sur https://data.sncf.com.
De plus, quelques extras sont disponibles sur un dépôt github (notamment le GeoJSON des points kilométriques non distribué par SNCF Réseau).
Enfin, les pictos commencent à être disponibles sur un dépôt GitHub dédié également.

Pour plus d’informations sur la signalisation ferroviaire, consultez cet article très pédagogique sur le site de l’EPSF.

Site : Carto GRAOU

OpenRailwayMap

Ce projet a été fondé en décembre 2011 afin d’établir une carte mondiale, ouverte, à jour et détaillée des réseaux ferroviaires, basée sur OpenStreetMap.

Le projet OpenRailwayMap concerne tous les véhicules sur rail et transport guidé, c’est à dire le chemin de fer, le métro, les trams, le chemin de fer miniature et les funiculaires. La carte ne comprend pas le métro aérien, les monorails, et maglevs.

Le nom OpenRailwayMap fait généralement référence à la carte en ligne. Mais le projet a aussi pour objectif d’apporter des informations concernant le chemin de fer à OpenStreetMap. En développant un référentiel de données consistent, en fournissant une liste d’emails pour les discussions, en développant des plugins pour la mise à jour, le recueil de ces données est amélioré et les données sont rendues utilisables pour d’autres applications et développeurs.

Site : OpenRailwayMap

L’IGN passe la France au Lidar à haute densité

En ce moment et pendant les 5 années à venir, l’intégralité du territoire français va être passé au Lidar afin de créer une photographie en relief et de haute précision du pays. C’est l’IGN, l’Institut national de l’information géographique et forestière, accompagné de plusieurs partenaires publics et privés, qui est aux commandes du projet et des avions qui vont effectuer cette cartographie.

Source : L’IGN passe la France au Lidar à haute densité | MacGeneration

La billettique à l’heure du MaaS

Le 1er juillet 2021, toutes les entreprises, quelles qu’elles soient, publiques ou privées, auront la possibilité de demander aux autorités organisatrices de la mobilité de vendre des déplacements, via des MaaS qu’elles mettront en place. Les AOM doivent donc se préparer à l’arrivée de nouveaux acteurs – mastodontes de type Gafa ou bien petites start-up aguerries –, au risque de perdre le lien qui les relie à l’utilisateur final. Mais elles disposent de ressources capables de les maintenir au cœur du système. A condition d’y mettre les moyens, elles pourront rester maîtresses de leurs réseaux et des arbitrages.

Source : La billettique à l’heure du MaaS – Ville, Rail et Transports

Open data, cloud public… Le gouvernement présente son plan de transformation numérique de l’Etat

Le ministère de la Transformation et de la Fonction publiques vient de présenter sa stratégie nationale pour la transformation numérique de l’Etat en “400 jours”. Le dispositif FranceConnect, les démarches en ligne et l’équipement des agents publics doivent être accélérés. Le gouvernement lance également deux projets phares : l’open data de l’administration et un cloud étatique pour assurer la souveraineté numérique de la France.

Source : Open data, cloud public… Le gouvernement présente son plan de transformation numérique de l’Etat

CeremaData, la plateforme open data du Cerema est en ligne

Dans le cadre de la démarche d’ouverture des données publiques, le Cerema lance sa plateforme open data, où sont valorisées ses ressources numériques et des données publiques disponibles.

CeremaData met à disposition du public les données numériques produites par le Cerema et ses partenaires dans leurs domaines de compétences : aménagement et urbanisme, environnement, infrastructures, bâtiment, sols…

Source : CeremaData, la plateforme open data du Cerema est en ligne | Cerema

Forfait mobilité, free floating, open data et MaaS… que contient le projet de loi d’orientation des mobilités ?

Le projet de loi d’orientation des mobilités, dite LOM, a été adopté mardi 18 juin 2019 par l’Assemblée nationale. Pensée comme une boîte à outils à destination des autorités organisatrices des transports, la LOM peut favoriser l’émergence du covoiturage et de l’auto-partage. Cette loi prévoit aussi la mise en place d’applications de MaaS (mobility as a service) et instaure l’ouverture de certaines données.

Les autorités organisatrices des transports pourront favoriser le covoiturage et l’auto-partage

La LOM met en place les autorités organisatrices des transports (AOT) qui reposent sur un couple intercommunalités – région devant proposer des solutions alternatives à la voiture individuelle. La création de ces AOT devrait “lever certains verrous et les différentes incitations qui existent pourront permettre l’émergence de start-up dans le secteur de la mobilité”, analyse auprès de L’Usine Digitale Pascal Melet, directeur général du salon Autonomy. Par exemple, des voies dédiées au covoiturage pourraient voir le jour. Côté auto-partage, “les AOT doivent favoriser l’octroi de places de stationnement pour les véhicules en auto-partage et accorder un label pour les véhicules autorisés à les utiliser”, affirme Pascal Melet. “Rien de très révolutionnaire, mais un signal qui va dans le bon sens et clarifie certaines situations“, ajoute-t-il.

Open data et application MaaS

Les AOT devront faire en sorte qu’une application multimodale existe sur leur territoire. Celle-ci devra regrouper l’ensemble des moyens de transport disponibles sur le territoire de la collectivité et les informations temps réel sur leur situation. Autre disposition favorisant le développement de telles applications : “La LOM prévoit dans son article 9 que les entreprises devront partager leurs données notamment pour que les systèmes de billettique des services de transport puissent être intégrés dans d’autres plateformes”, déclare Pascal Melet. L’Assistant pour les mobilités d’e-voyageurs SNCF va dans ce sens d’une application de MaaS (Mobility as a Service), tout comme l’app du Groupe RATP à Annemasse, ou l’appli Star de Keolis à Rennes. Les applications locales, spécifiques à certaines agglomérations, devraient cohabiter avec des applications plus générales qui se justifient sur des territoires où il y a moins de concurrence.

“Les entreprises de VTC, comme Uber, vont bénéficier de cette ouverture des données mais ne sont pas engagées”, précise Pascal Melet. N’ayant ni horaire ni prix fixes, ces plates-formes ont réussi à ne pas se voir imposer l’ouverture de leurs données, mais elles bénéficieront de l’ouverture des données des autres moyens de transport. Et ce d’autant plus que les acteurs du VTC tendent à diversifier leurs activités et vouloir devenir des plates-formes multimodales comme le montre Uber, qui a ajouté les transports en commun sur son app à Denver (Etats-Unis).

Création d’un  forfait mobilité qui pourrait favoriser le covoiturage

Des accords devront être trouvés ou des plans de mobilité établis par les entreprises afin d’améliorer les trajets domicile travail (vélo, covoiturage, horaires décalés, télétravail, espace de coworking…). Allant dans ce sens, et favorisant les moyens de mobilité autre que la voiture, la LOM instaure le forfait mobilité durable. Les employeurs peuvent verser jusqu’à 400 euros par an à leurs employés venant en vélo ou en covoiturage que ce soit le conducteur et/ou le passager. “Même les automobilistes qui n’auraient pas trouvé de personne à transporter se verront aider financièrement, précise Pascal Melet. Une bonne chose pour le covoiturage, secteur dans lequel l’offre fait la demande”. Seul hic : ce forfait mobilité durable est facultatif. Mais il peut être accordé en plus du remboursement de la moitié de l’abonnement de transport en commun. Le gouvernement souhaite prendre un décret pour inclure les véhicules et scooter en partage dans ce forfait mobilité.

Des services en free floating plus encadrés ?

La LOM donne des outils aux collectivités locales compétentes pour encadrer l’implantation des services en free floating (vélos, trottinettes, scooters…) : “soit les collectivités font une délégation de service public soit elles imposent un cahier des charges et sélectionnent quelques sociétés”, résume Pascal Melet. Une seconde option vers laquelle semble vouloir se diriger la ville de Paris qui a vu plus d’une dizaine de sociétés proposant des trottinettes électriques en libre-service s’implanter sur son territoire en peu de temps. La Mairie a récemment annoncé vouloir autoriser trois acteurs dans la ville proposant un total de 15 000 trottinettes.

Si dans un premier temps, cette annonce pourrait entraîner “une course effrénée au développement des trottinettes dans Paris”, à terme le marché se stabilisera, analyse Pascal Melet. Le secteur devrait se consolider et certaines start-up devraient disparaître. Certains opérateurs non retenus par la Mairie de Paris pourront se tourner vers d’autres villes ou des sociétés privées désireuses de proposer un tel service à leurs salariés.

De nouvelle garanties pour les indépendants du numérique ?

La LOM contient des dispositions visant à “rééquilibrer les relations entre chauffeurs VTC, les livreurs à 2/3 roues et les plateformes” du numérique, selon le gouvernement. Cet article reprend une partie de l’amendement voté au projet de loi pour la liberté de choisir son avenir professionnel qui a été censuré par le Conseil constitutionnel. Par exemple, les plateformes sont invitées à établir une charte, qui peut être homologuée par l’administration, et portera sur “les conditions d’exercice, les modalités permettant aux travailleurs d’obtenir un prix décent pour les prestations, le développement des compétences professionnelles, les conditions de travail ou encore les garanties de protection sociale complémentaire négociées par la plateforme”, liste simplement le gouvernement.

La question de la formation de ces indépendants grâce à un abondement spécifique des plateformes au Compte personnel de formation (CPF) revient aussi. La LOM instaure un droit à la déconnexion pour ces indépendants, la possibilité de choisir leurs temps d’activité et de refuser une course en tout état de cause (ils devront être informés du prix minimum prévisible de la prestation et de la distance à parcourir). Des dispositions qui vont dans le sens d’une amélioration des conditions de travail de ces indépendants.

Source : Forfait mobilité, free floating, open data et MaaS… que contient le projet de loi d’orientation des mobilités ?

Les automobilistes bientôt rémunérés pour les données acquises par leurs véhicules ?

Depuis quelques jours, Jaguar-Land-Rover effectue en Irlande les premiers tests d’un portefeuille intelligent, basé sur des cryptomonnaies (IOTA Fondation), directement intégré dans la voiture. Il permettra par exemple de payer sa recharge électrique, son parking ou ses péages sans équipement supplémentaire et sans abonnement.

Take the money and drive

Rien à voir avec la cartographie me direz-vous ? Mais si, car, qui dit portefeuille dit à la fois dépenses et… recettes. Le conducteur peut également gagner de l’argent en acceptant d’envoyer des données captées par sa voiture telles que nids-de-poule ou ralentissements aux autorités ou à un fournisseur de services de navigation. Ces transmissions de données géolocalisées permettront ainsi d’améliorer l’état des routes et les conditions de circulation. Ce « smart wallet » fait partie intégrante de la stratégie Destination Zero de Jaguar Land Rover « zero emissions, zero accident and zero congestion ».« Pour atteindre cet objectif, il faut notamment développer une économie du partage dans laquelle le véhicule joue un rôle essentiel en tant que collecteur de données dans la ville intelligente du futur »précise le communiqué officiel.

Un premier pas sur un vaste sujet

La proposition du constructeur permet d’établir une relation commerciale entre un particulier et une autorité publique ou un service de navigation… Mais jusqu’où le conducteur gardera-t-il la maîtrise des flux qu’il génère ? Pourra-t-il refuser de transmettre certaines données à certains organismes ? Jusqu’à quel niveau de détail ? Compte tenu de l’organisation de l’entretien des routes dans un pays comme la France, un tel système ne pourra s’envisager sans un intermédiaire agrégateur… Qui définira les prix des données ? Qu’est ce qui empêchera l’avenir le conducteur de réclamer de l’argent pour d’autres données que celles prévues aujourd’hui ? Véritable boîte de Pandore, la question de la valorisation des données acquises par nos capteurs individuels n’a pas fini de nous interroger.

Source : http://decryptageo.fr/les-automobilistes-bientot-remuneres-pour-les-donnees-acquises-par-leurs-vehicules/

Et : https://www.usine-digitale.fr/article/vous-pourriez-bientot-gagner-de-l-argent-en-conduisant-en-echange-de-donnees-trafic.N839415

Observatoires cartographiques : Géoclip toujours dans l’air du temps

Début d’année en fanfare pour Géoclip, la plateforme d’exploration et de visualisation de données géostatiques. Vendredi 1er février 2019, Santé publique France ouvrait son observatoire cartographique, tandis que l’INSEE annonçait ses portraits de territoires.

En lançant son observatoire cartographique dynamique baptisé Géodes, Santé Publique France expose au grand jour le fruit d’un travail de fond, mené depuis l’ouverture de l’établissement public en 2016, qui rassemble l’INVS, l’Inpes et l’Eprus.

Évolution des diagnostics du Sida... soit près de 40 ans de données cartographiées et synthétisées dans Géodes sous Géoclip.

Évolution des diagnostics du Sida… soit près de 40 ans de données cartographiées et synthétisées dans Géodes sous Géoclip.

Une mine d’informations et de visualisations

Ce sont plus de 300 indicateurs qui sont proposés, expliqués, cartographiés… grâce à Géoclip Air. « Nous avons dû relever plusieurs défis, reconnaît bien volontiers Éric Mauvière, le fondateur d’EMC3 et créateur de Géoclip. Tout d’abord, Santé Publique France dispose de séries très longues et il a fallu trouver les moyens de représenter les évolutions spatio-temporelles, grâce aux animations et aux diagrammes de synthèse. Ensuite, le site peut avoir d’importants pics d’utilisation et il doit répondre à de fortes contraintes de sécurité… nous avons dû passer beaucoup de tests pour faire la preuve que Géoclip pouvait répondre à ces exigences. » Avec sa double entrée, par pathologie et par déterminant, le site permet une véritable exploration d’une mine d’informations, aujourd’hui à l’échelle du département ou de la région. Les cartes, graphiques et tableaux sont ensuite facilement importables dans un site Web par le biais d’un iframe.

Portraits croisés à l’INSEE

Des portraits synthétiques de territoires personnalisables à l'INSEE.

Des portraits synthétiques de territoires personnalisables à l’INSEE.

Au moment où l’agence nationale de la santé publique recevait les journalistes autour de Géodes, l’INSEE ouvrait une nouvelle rubrique dans son portail de statistiques locales : les rapports. Ils permettent de générer un portrait de territoire sur une zone d’étude (à définir soi-même si besoin) et de la comparer avec la tendance nationale ou avec un autre territoire. Trois thèmes sont proposés : une synthèse générale, la démographie et les conditions de vie ainsi que l’économie et l’emploi. À découvrir sur https://statistiques-locales.insee.fr.

Source : Observatoires cartographiques : Géoclip toujours dans l’air du temps