Cet article ne sera sûrement pas exhaustif mais je voulais lister un certain nombre de données carto et statistiques qui sont désormais facilement accessibles.
Suite sur : georezo.net
Cet article ne sera sûrement pas exhaustif mais je voulais lister un certain nombre de données carto et statistiques qui sont désormais facilement accessibles.
Suite sur : georezo.net
Google Maps vous propose désormais d’explorer l’historique de vos déplacements depuis six ans au travers d’une nouvelle fonctionnalité baptisée ‘Your Timeline’. Une exploration qui fait froid dans le dos…
Source : abondance.com
Blablacar publiait récemment une étude montrant que le covoiturage conduit à des pratiques de conduite moins accidentogène qu’en étant seul dans sa voiture. Ce constat est vrai dans de nombreux domaines : par exemple, l’alimentation diffère entre les personnes qui mangent seules et celles qui mangent en groupe. L’autosurveillance de soi est modifié sous le regard des autres. En conséquence, la mise en réseau, favorisant la rencontre, comme le partage de biens et de services créent les conditions favorables à des changements de comportement individuel. Ce triptyque – Soi, objet désiré, médiateur – n’est pas nouveau, c’est la thèse centrale de René Girard sur le désir mimétique comme socle de nos sociétés.
Source : Le pair, le réseau, le blockchain et le désir mimétique
Et voir l’étude (bien que commandité par Blablacar).
Une idée de sortie sans voiture ?
Un bon plan produits locaux ?
changerdapproche.org ouvre la voie à plus de 13 000 itinéraires en montagne accessibles en transports en commun : randos à pieds, en raquette et à ski, voies d’escalades, alpinisme, parapente et cascades de glace.
Mountain Wilderness et Camptocamp vous proposent la plus grande base de données européenne en faveur de la mobilité douce et de l’écotourisme en montagne. Une base de données ouverte qui va s’enrichir de vos sorties en montagne réalisées en transports collectifs. Une base de données participative pour partager les bons plans écotourisme des vallées. Le plaisir d’une sortie en montagne commence à votre porte !
Source : changerdapproche.org
Depuis 2007, Mountain Wilderness travaille à la question de la mobilité en territoire montagnard. Loin d’un message moralisateur, notre association propose une autre approche de la montagne, un rapport au temps et à l’espace qui invite à s’immerger et ressentir la singularité de chaque territoire, à ré-inventer ses itinéraires et sa vision des espaces montagnards. Changer d’approche c’est aussi s’immerger davantage en montagne en goûtant aux saveurs locales et en contribuant à faire vivre l’économie locale. Accepter de se laisser transporter, prendre le temps, oublier les sorties en aller-retour à la journée pour tenter les traversées, bivouaquer ou dormir en refuge, rencontrer celles et ceux qui vivent en montagne, autant d’expériences pour découvrir ou redécouvrir la montagne… autrement.
Changer d’approche ce n’est pas perdre son temps, c’est prendre son temps !
Avec cette vidéo, Mountain Wilderness souhaite mettre en lumière les nombreux “héros de l’ordinaire” qui ont sû innover, expérimenter, mettre en phase leurs aspirations et leurs pratiques. Des héros de l’ordinaire comme nous aimons à les appeler car la montagne autrement est à la portée de tous ! Chacun de nous est en mesure de ré-enchanter son rapport à la nature et à l’Homme…
Vidéo sur Vimeo
Le 25 juin dernier, Mobilité Durable a assisté à la finale du concours “Ideas for Boarding”, organisé par Studyka et l’Aéroport Paris Charles de Gaulle. L’occasion pour nous de rencontrer de jeunes talents qui réinventent la mobilité de demain, au sein des aéroports.
Source : Défi “Ideas for Boarding” pour imaginer les déplacements dans les aéroports du futur
Via : mobilite-durable.org
La réforme territoriale (loi “Notre” relative à la Nouvelle organisation territoriale de la République) prévoit :
Le relèvement du seuil d’intercommunalité de 5 000 à 20 000 habitants permettra d’avoir davantage de capacités à agir au niveau des bassins de vie d’aujourd’hui, plus étendus que ceux d’hier. Il s’accompagne d’un mouvement d’augmentation des compétences des intercommunalités (tourisme, aires d’accueil des gens du voyage, maisons de services au public), qui permettra la diminution du nombre de syndicats intercommunaux (13 700 actuellement) et génèrera des économies de gestion dans des services utilisés au quotidien par nos concitoyens comme l’eau, les déchets ou les transports. Des adaptations sont prévues pour les territoires à caractéristiques spécifiques. (voir infra)
Elles seront en charge de l’élaboration d’un schéma régional en matière de développement économique, d’innovation et d’internalisation (SRDEII) ; de la coordination sur leur territoire de toutes les actions en faveur de l’économie ; de l’animation des pôles de compétitivité. Elles se voient également confier la gestion des ports et des aéroports, infrastructures nécessaires au développement et à l’emploi. Elles piloteront encore toutes les politiques en matière de transport TER, et transports inter-urbains, ainsi que la voirie qui sont des politiques complémentaires dont l’efficacité sera renforcée si elles sont confiées à une seule collectivité. Enfin, elles disposent de l’autorité de gestion des fonds européens depuis 2014 dans le cadre de la loi de modernisation de l’action publique territoriale et d’affirmation des métropoles et sont pleinement responsables en matière de formation professionnelle depuis le 1er janvier 2015. (voir infra)
En termes de calendrier, pas tout saisi, mais le Conseil Constitutionnel est saisi suite à l’adoption de la Loi par la Commission Mixte Paritaire : voir LégiFrance et le site du Sénat et celui de l’Assemblée Nationale.
A suivre donc…
NB : j’ai lu sur l’un des sites consultés que les Régions pourront conventionner pour déléguer aux Départements une partie du volet Transport notamment.
Alors que le train à sustentation magnétique japonais JR-Maglev vient d’atteindre les 603 km/h de vitesse, d’autres prototypes encore plus futuristes voient le jour, partout dans le monde . Retour sur ces projets de trains ambitieux qui nous promettent des déplacements toujours plus performants.
Via : mobilite-durable.org
La Fédération européenne des cyclistes a calculé en 2011 que si tous les Européens pédalaient autant que les Danois, l’Union européenne parviendrait à réduire ses émissions de 12 % à 26 % en 2050.
Source : LeMonde.fr : Faut-il vraiment pédaler pour la planète ?
Il y a 2 ans, un quartier de Suwon, une grande ville de Corée du Sud, s’est lancé dans une expérience sans voiture d’un mois, rapporte FastCoExist. L’initiative – baptisée le festival de l’écomobilité – lancée par Konrad Otto-Zimmermann, directeur créatif du cabinet l’idée urbaine, permet aux citoyens de mieux envisager ce que serait leur ville sans voiture, en le vivant concrètement.
Le processus de production de l’événement a pris lui-même 2 ans. En septembre 2013, 1500 voitures ont été déplacées et garées en dehors du quartier. 400 vélo ont été livrés et des navettes très régulières ont été mises en place pour aider les gens à rejoindre les parkings. Le quartier a été transformé avec des sièges et des bancs, les bars et restaurants ont élargis leurs terrasses… La durée de l’expérience avait pour but de casser les routines des habitants et de prendre le pouls de la valeur de l’amélioration obtenue. Certaines des améliorations, comme l’élargissement des trottoirs, l’installation de mini-parcs ont été prolongées au-delà de l’événement, certaines déviations maintenues et la vitesse réduite. Un jour par mois, le quartier demeure sans voitures.
Reste que le coût de l’expérience (10 millions de dollars dont l’essentiel est allé à l’aménagement de la voirie) est tout de même important. Un livre a été éditépour raconter l’expérience. Cet automne, Otto-Zimmerman va répéter l’expérience dans un quartier de Johannesburg en Afrique du Sud et une autre ville devrait suivre.
Via : à lire ailleurs
La ville de Los Angeles a signé un partenariat avec Waze, l’application de trafic et navigation communautaire de Google, pour partager ses données de fermeture des routes, rapporte un site local californien. Un élu local de Los Angeles en a profité pour suggérer une motion pour que l’application de GPS communautaire de Google ne détourne pas le trafic routier sur des rues résidentielles. En effet, des habitants se plaignent de ces applications qui conseillent parfois aux automobilistes des itinéraires de délestage sur des rues qui ne sont pas conçues pour les accueillir en nombre, parce qu’elles n’ont pas feux ou de passages piétons… Les régulateurs vont-ils devoir s’intéresser aux logiciels des GPS ?
Via : à lire ailleurs