Dans les transports publics, la fréquentation retrouve un niveau “presque normal”

La fréquentation des transports publics évolue favorablement. « Les niveaux de fréquentation sont bien remontés : à plus de 95 %, on a presque retrouvé les niveaux d’avant-Covid« , a indiqué, lors de la présentation de la semaine de la mobilité à partir du 16 septembre, Marie-Ange Debon, la présidente de l’UTP, également présidente du directoire de  Keolis. « C’est plutôt encourageant, même si le télétravail, qui est maintenu souvent à temps partiel dans de nombreuses entreprises franciliennes, freine le retour au taux de fréquentation de 2019 ». Au printemps dernier, la fréquentation était de seulement 80 % du niveau d’avant la crise en Ile-de-France, et avoisinait 85 % ailleurs.

Source : Dans les transports publics, la fréquentation retrouve un niveau “presque normal” – Ville, Rail et Transports

L’engagement continu d’Elisabeth Borne en faveur du vélo

Longtemps considéré avec dédain, le vélo s’impose au plus haut niveau de l’Etat, grâce à sa mise en avant par la Première ministre: quatre ans après avoir lancé un premier plan vélo, lorsqu’elle était ministre des Transports, Elisabeth Borne continue à s’y intéresser puisqu’elle a elle-même annoncé, le 20 septembre, un nouvel effort en faveur de la petite reine. Le gouvernement va reconduire, a-t-elle expliqué, le fonds mobilités actives, en le dotant de 250 millions d’euros pour l’année 2023 : 200 millions d’euros seront dédiés aux infrastructures et 50 millions d’euros au stationnement.

Source : L’engagement continu d’Elisabeth Borne en faveur du vélo – Ville, Rail et Transports

Inclusivité : la dernière roue du MaaS ?

L’essor du MaaS porte de nombreux espoirs d’une mobilité plus fluide et plus durable. Mais fluide et durable pour qui ? Cette tribune interroge les enjeux sociaux soulevés par le développement du MaaS, la digitalisation et la dématérialisation des services de transport.

35 % des Français ne sont pas à l’aise avec le numérique. Si on s’intéresse plus précisément au smartphone, 16 % de la population ne possède pas de smartphone et 27 % n’utilise pas de smartphone quotidiennement2. Une solution d’inclusion au MaaS en dehors du smartphone devrait donc être envisagée pour cette part non négligeable de la population.

Source : Inclusivité : la dernière roue du MaaS ? – Ville, Rail et Transports

Les territoires de la marche en Île-de-France

L’Institut Paris Region a élaboré un indice de marchabilité des territoires qui s’appuie sur des statistiques récentes. Il permet de caractériser le potentiel piétonnier d’un espace et de le représenter sous la forme de cartes. Cet indicateur tient compte de l’offre de services des territoires, l’attractivité (les commerces, les équipements sportifs, culturels, de santé, les administrations) et la qualité de la voirie (type de voie, largeur, linéaire, îlot de chaleur urbain). Disponible sur l’ensemble du territoire francilien, il constitue un outil d’observation et de diagnostic précieux pour l’aménagement des territoires. Il peut notamment abonder un état des lieux dans la phase d’élaboration de politiques publiques en matière de santé ou de mobilité par exemple. Une première série de cartes est aujourd’hui dévoilée : une à l’échelle de la Métropole du Grand Paris et sept autres à l’échelle communale sur les préfectures.

Source : Les territoires de la marche en Île-de-France – Institut Paris Région

Move! That! Bus!

In October 2021, NACTO convened its network of transit professionals from 89 cities across the U.S. and Canada to articulate a list of near-term, high-impact actions that cities and transit agencies can take to significantly reduce transportation-related carbon emissions within the next five-to-ten years.

Move! That! Bus! provides decision-makers—elected officials, transit board members, department and agency executives—a clear action plan for improving bus service and reducing transportation-related emissions in the short time we have left to avert lasting catastrophic climate change.

Source : MoveThatBus-FINAL.pdf

Parts modales et partage de l’espace dans les grandes villes françaises – FNAUT

Bruno Cordier, du cabinet ADETEC, présente aujourd’hui son étude sur les parts modales et les grandes villes françaises. Une expertise qui confirme les thèses de la FNAUT.

  • Parts modales
    • En moyenne, les habitants des villes-centres effectuent 49 % de leurs déplacements en voiture, 36,6 % à pied, 11,8 % en transports collectifs et 2,6 % à vélo.
    • Il y a de gros écarts entre les villes les plus vertueuses (Paris, Lyon, Grenoble, Rennes, Strasbourg), où la part de la voiture dans la ville-centre varie entre 13 et 36 % et les moins vertueuses (Saint-Nazaire, Dunkerque, Bayonne, Troyes, Pau) où elle varie entre 63 et 67 %.
    • Les écarts entre les villes se font surtout sur la marche à pied, puis sur les transports collectifs et moindrement sur le vélo.
    • Les habitants des banlieues effectuent 70 % de leurs déplacements en voiture, 21,3 % à pied, 7,1 % en transports collectifs et 1,6 % à vélo.
    • Ceux des couronnes périurbaines effectuent 74,8 % de leurs déplacements en voiture, 18,5 % à pied, 5,6 % en transports collectifs et 1,2 % à vélo.
    • Il y a plus d’écarts entre les villes-centres et les banlieues qu’entre les banlieues et les couronnes périurbaines  les politiques de mobilité restent encore largement à développer en dehors des villes-centres.
    • Globalement, les métropoles sont plus vertueuses que les villes moins grandes.
  • Partage de l’espace
    • Seulement 2 métropoles (Lyon et Lille) et 3 villes (Paris, Saint-Nazaire et Avignon pour son cœur historique) disposent de données complètes permettant de calculer le partage de l’espace entre les différents modes de déplacement.
    • La surface d’espace public affectée à la mobilité varie entre 13 m² par habitant à Paris et 59 m² par habitant à Saint-Nazaire.
    • La part de cette surface affectée à la voiture varie entre 49,5 % à Lyon et 91 % dans une commune de la périphérie de Lille.
    • Les villes où l’espace est le plus rare sont celles qui le partagent le mieux (Lyon, Paris et Villeurbanne).
  • Analyse croisée
    • Forte corrélation entre la part d’espace accordée à la marche et à la voiture et l’usage de chacun de ces modes.
    • Corrélation moindre pour les transports collectifs et surtout le vélo.
  • A faire
    • Calcul du partage de l’espace dans toutes les villes. Quelques-unes l’auront peut-être dans quelques mois (le Havre, Tours, Annecy).
    • Etude complète sur les autres facteurs influant sur les parts modales, à l’instar de ce qui a été fait pour les villes moyennes (ADETEC, 2019) :
      Dans les villes moyennes, les principaux leviers pour réduire l’usage de la voiture et développer la marche, le vélo et les transports collectifs sont :
      l’urbanisme (densité, formes urbaines, degré de périurbanisation, mixité fonctionnelle…),
      l’offre de voirie, son partage et la modération des vitesses,
      le stationnement automobile,
      les offres propres à chaque mode de déplacement alternatif (marche, vélo, transports collectifs),
      l’acculturation des acteurs (élus, techniciens) et la formation des techniciens.

Source : Parts modales et partage de l’espace dans les grandes villes françaises – FNAUT

Documentation :

Diaporama  : Parts modales et partage de l’espace dans les grandes villes françaises

Point de vue de la FNAUT

Etude complète : Parts modales et partage de l’espace dans les grandes villes françaises

Rapport : Le palmarès des mobilités

Replica (Google) collecte des données de localisation mobile pour modéliser les déplacements urbains

Replica est la dernière-née du Sidewalk Labs, la division smart city de Google. L’entité formée il y a deux ans a annoncé jeudi 12 septembre 2019 avoir réalisé une première levée de fonds et devenir désormais une société à part entière. Son créneau ? Aider les entités publiques à mieux comprendre les déplacements des personnes et des biens.

Source : Replica (Google) collecte des données de localisation mobile pour modéliser les déplacements urbains

Des autoroutes à caténaires pour un transport routier moins polluant ?

Et si l’on rendait les autoroutes électriques pour en limiter les pollutions ? Alors que diverses solutions sont à l’étude pour faire baisser les émissions de GES, l’Allemagne teste des autoroutes à caténaire pour les poids lourds. Ces derniers sont sans conteste les véhicules les plus polluants au sein du trafic routier.

Source : Des autoroutes à caténaires pour un transport routier moins polluant ?

Comment l’Autriche a fait renaître les trains de nuit en Europe

En 2017, l’Autriche était la seule à croire encore au train de nuit. Cinq ans plus tard, le pari est gagné. Mais la locomotive autrichienne a désormais besoin d’un appel d’air européen pour passer un nouveau cap.

Source : Comment l’Autriche a fait renaître les trains de nuit en Europe | Alternatives Economiques

MS Outlook : modifier les séries de réunions récurrentes sans annuler les exceptions (annuler les prochaines occurrences)

  • Sur la version web d’outlook 365 : https://outlook.office.com/calendar/view/week
  • Select the meeting in your calendar and select Cancel > This and all following events: Choose this option to cancel the event you’ve selected in the calendar and all subsequent events in the series.

Source : Create, modify, or delete a meeting request or appointment in Outlook.com

Signalisation routière : plusieurs adaptations sont prises pour améliorer la sécurité

Un arrêté du 13 juin comprend plusieurs modifications de la signalisation routière qui visent à améliorer la sécurité des usagers de la route et la sécurité des agents de la route, à adapter la signalisation à certaines contraintes des gestionnaires de voirie, des opérateurs de transports et des fabricants. Ces modifications concernent :

  • la création d’un feu mixte piéton-cycle R12m pouvant être utilisé comme signalisation spécifique au sens de l’article R. 412-30 du code de la route, dans les cas où il existe une piste cyclable traversant la chaussée, parallèle et contiguë à un passage piéton dont le franchissement est réglé par des feux de signalisation lumineux ;
  • la possibilité d’utiliser, en complément des feux piétons R12, des décompteurs de temps pour piétons, afin d’informer les piétons du temps restant de vert ou de rouge piéton ;
  • la possibilité d’ajouter, sur certains passages à niveau équipés de feux R24 dont la visibilité est limitée, un ou plusieurs feux R24 supplémentaires pour en améliorer la visibilité ;
  • la création d’un panneau d’information relatif au respect des distances de sécurité en tunnel ;
  • les conditions d’implantation de la signalisation des zones à faibles émissions mobilité ;
  • l’identification, parmi la signalisation d’information locale existante, de la signalisation directionnelle à usage des piétons (nouvelles nomenclatures Dp29 et Dp43) ;
  • la prise en compte, dans l’écriture des mentions de pôle, du cas particulier des zones portuaires ;
  • l’élargissement des dimensions possibles des panneaux de grande taille, pour mieux tenir compte de leurs contraintes de fabrication ;
  • la précision des prescriptions de panneaux applicables aux tramways, au sens de l’article R. 110-3 du code de la route ;
  • la possibilité, pour la flèche lumineuse de rabattement embarquée sur un véhicule ou une remorque, d’être décentrée par rapport aux roues de la remorque.

Source : Signalisation routière : plusieurs adaptations sont prises pour améliorer la sécurité

Voies réservées sur autoroutes et voies rapides urbaines

Benchmark comparatif entre cas espagnols, anglais et français

L’Espagne et l’Angleterre ont précédé la France dans la réalisation de voies réservées au covoiturage et à la circulation des transports collectifs sur autoroutes et voies rapides urbaines. Ces voies existantes ou en projet montrent une grande diversité de formes et de modes de fonctionnement. Elles peuvent être créées sur de longues distances, très capacitaires et réalisées sur des infrastructures dédiées comme dans le cas des premières réalisations à Madrid et Barcelone, ou bien plus courtes, pragmatiques et évolutives comme à Leeds et Bristol.
Le résultat immédiat de la création d’une voie réservée est la diminution des temps de parcours et l’amélioration de la régularité des transports collectifs. Si l’amélioration de la qualité de service existante est couplée à une augmentation de l’offre, le succès n’en est que plus fort et la fréquentation des bus augmente considérablement. Autre facteur de réussite, la complémentarité entre les offres de bus interurbains et de trains de banlieue. Une intermodalité efficace dans un pôle d’échange multimodal situé en entrée de ville est nécessaire pour la diffusion des voyageurs vers leur lieu de destination à l’aide de transports collectifs performants ou de modes actifs, partagés ou stationnés dans des parcs sécurisés.
Si la pratique du covoiturage peut légèrement augmenter à la création d’une voie réservée, elle n’est pas suffisante au développement de la pratique. D’autres leviers sont nécessaires : communication, incitations financières, aires de covoiturage, places de stationnement réservées à destination, plans de mobilité d’entreprise, tarifs préférentiels, etc. Parfois décriées à leur mise en service, les voies réservées sont globalement mieux acceptées avec le temps, mais cette acceptation peut vite redevenir faible si le taux de fraude augmente à mesure que les contrôles de police se font plus rares. Cette question du contrôle est cruciale pour la réussite d’un projet de voie réservée et son efficacité dans l’optimisation du fonctionnement de la voirie sur le temps long.
L’augmentation du remplissage des bus et des voitures ne diminue pas le nombre de véhicules en circulation, aucun impact tangible sur l’évolution de l’accidentologie, du bruit et de la qualité de l’air ne peut ainsi être directement lié à la mise en service d’une voie réservée. Au contraire, une autoroute plus performante peut devenir plus attractive, et par effet rebond encourager le parcours de plus longues distances et accélérer l’étalement urbain à long terme. La réalisation d’une voie réservée n’est donc pas neutre en termes d’augmentation des émissions de gaz à effets de serre, de polluants atmosphérique et d’artificialisation des sols. Pour limiter ces effets néfastes, des mesures complémentaires sont à envisager sur les autoroutes et voies rapides urbaines, comme la réduction de la vitesse, la tarification, la mise en place de droits à circuler échangeables ou leur transformation en boulevards urbains multimodaux. Attribuer une vocation plus vertueuse à une voie existante plutôt que d’en créer une nouvelle, diminuer la largeur des voies pour mieux partager la chaussée, favoriser le télétravail, prendre en compte le temps des villes pour adapter le débit et le sens de la circulation en fonction des heures de la journée, ces mesures moins onéreuses et plus rapides à mettre en oeuvre permettent d’agir plus efficacement sur les enjeux actuels d’inclusivité sociale, de santé publique et de décarbonation des transports.
Les premières expérimentations françaises de voies réservées sur autoroute (VR2+ de Grenoble et Lyon) sont semblables aux projets espagnols récents consistant à transformer une voie de circulation existante. Mais certaines expérimentations actuelles (Mérignac) ou en projet (Nantes, Lille) testent des voies ouvertes au covoiturage sur des voiries plus locales, comme des 2 x 2 voies départementales ou des grands axes d’entrée d’agglomération, comme en Angleterre. Même si un recul plus important serait nécessaire à leur évaluation, elles montrent des résultats intéressants, avec notamment des conditions de circulation qui ne se détériorent pas, un apaisement des vitesses, et du temps gagné pour les covoitureurs et les usagers des transports collectifs.
En Île-de-France, la Région souhaite construire une offre complémentaire aux transports ferrés en se basant sur les modes routiers avec le développement du covoiturage et de lignes de bus express. Cette nouvelle offre répond aux problématiques des zones peu denses et à une demande de déplacement qui augmente avec le développement de la grande couronne. La forte saturation que connaît le réseau autoroutier francilien rend la réalisation de voies réservées particulièrement stratégique. Le schéma directeur des voies réservées en cours de révision et les réflexions sur les pôles d’échange multimodaux routiers permettent de garantir une logique d’ensemble au réseau et de prioriser la réalisation des tronçons les plus utiles pour l’amélioration des conditions de circulation. En effet, des petits aménagements permettent parfois des améliorations significatives, notamment en termes de temps de parcours et de régularité pour les lignes express. Chaque tronçon est ensuite à étudier au cas par cas pour proposer une solution adaptée au contexte local (VRTC, VR2+ sur voie existante ou VR2+ sur voie nouvelle). La concertation (élus, habitants), la communication en amont et un discours pédagogique expliquant les effets contre-intuitifs des voies réservées (dédier une voie existante aux modes partagés peut fluidifier la circulation car plus de personnes sont transportées dans moins de véhicules) sont des éléments clefs pour le succès du développement des voies réservées et l’optimisation de l’usage des autoroutes urbaines.

Source : Voies réservées sur autoroutes et voies rapides urbaines – Institut Paris Région

Trains, bus, métros : l’Allemagne teste les transports quasi gratuits

L’Allemagne instaure un ticket unique à 9 euros par mois jusqu’au 31 août dans les transports en commun (sauf les trains grandes lignes). Cette mesure de soutien du pouvoir d’achat vise aussi à réduire l’usage de la voiture.

Source : Trains, bus, métros : l’Allemagne teste les transports quasi gratuits

Contre les canicules, comment rafraîchir les villes

Les vagues de chaleur, qui se multiplient, sont exacerbées en milieu urbain. Les solutions pour rendre nos villes moins étouffantes sont connues mais pas encore pleinement mises en œuvre.

Source : Contre les canicules, comment rafraîchir les villes | Alternatives Economiques

Enquête à bord des TER de la région grenobloise : épisode 4

Retrouvez l’enquête menée par la Région Auvergne-Rhône-Alpes sur l’étoile ferroviaire grenobloise entre 2017 et 2019. Ce 4e et dernier épisode se dresse un portrait de l’intermodalité vélo – train.

Quelle est la part du vélo pour accéder aux gares ? Pour rejoindre la destination finale depuis une gare ? Quelle distance est parcourue ? Quels choix sont faits entre embarquer le vélo ou le stationner ? Quels sont les freins ? Comment inciter à stationner les vélos en gare ?

L’enquête apporte des réponses. Point de vigilance : elle dresse le portrait d’une journée type, comportant inévitablement des particularités comme la météo par exemple. Si le poids des déplacements effectués au quotidien ou presque (57 %) donne une certaine valeur aux analyses que l’on peut en faire, il convient toutefois de les considérer avec précaution.

Source : Enquête à bord des TER de la région grenobloise : épisode 4 – Observer – Article

Bus, métro et train en illimité : l’Autriche lance son “ticket climat” à 3 euros par jour

Un seul ticket pour prendre n’importe quel transport en commun : tel est le dispositif imaginé par le gouvernement autrichien. Objectif : encourager sa population à faire usage des transports en commun pour une somme modeste.

Ce Klimaticket, ou “ticket climat” en français, coûte 3 euros par jour, soit 24 euros par semaine ou 1 095 euros par an, précise L’ADN. Il permet de monter à bord de tous les transports publics comme privés du pays, soit les métros, bus, trams, ou encore les trains. L’initiative a été imaginée par le gouvernement pour encourager sa population à utiliser les transports en commun, et réduire ainsi les émissions carbone dues à l’usage de la voiture et autres modes de transports individuels polluants. Coût de l’investissement : 240 millions d’euros, auxquels devront s’ajouter 150 millions d’euros par année d’existence.

Source : Bus, métro et train en illimité : l’Autriche lance son “ticket climat” à 3 euros par jour